Pourquoi le web mobile s’impose aux applications (et les leçons à en tirer)

Dix ans après la sortie de l’iPhone, le premier réflexe pour de nombreuses marques est de lancer une application. Pourtant, aujourd’hui, les « mobinautes » se détournent de plus en plus des applications… au profit du web mobile.

Le journal L'Équipe est le premier média à avoir lancé sa progressive web app.
Le journal L’Équipe est le premier média à avoir lancé sa progressive web app. Source de l’image : Powertrafic.

Comprendre la (relative) bascule vers le web mobile en 5 points

Pour les lecteurs et lectrices les plus pressé·es, voici ce qu’il faut retenir de notre dernier article, publié sur le blog collectif « Les éclaireurs de la com » :

  1. Le marché des applications est largement dominé par Facebook et Google. À tel point d’ailleurs qu’on peut parler d’hyper concentration : hors de quelques apps dominantes, point de salut.
  2. Hors les quelques apps dominantes, les internautes jugent souvent les applications encombrantes et inutiles.
  3. D’ailleurs, l’utilisation des applications est en chute libre, sauf pour les apps des réseaux sociaux dominants (Facebook, Snapchat, Twitter…). Un point qui confirme l’hyper concentration du marché.
  4. Conséquence : le trafic du web mobile est en forte croissance.
  5. Si ce trafic augmente fortement, c’est aussi grâce aux progrès du web mobile, incarnés par trois leviers : les mini-sites mobiles, les progressive web apps et l’allègement des pages web.

En fin d’article, nous détaillons les trois grandes leçons qu’il faut tirer de ce mouvement fondamental. Bonne lecture ! 🙂